dimanche 24 novembre 2013

lundi 2 septembre 2013

Zone sans enfant dans les avions

Je vous avais déjà fait mention d'une compagnie aérienne irlandaise qui voulait commencer à offrir des vols sans enfants (qui s'est avéré être un canular du 1er avril). Mais c'est finalement une compagnie de Singapour, Scoot Airlines, qui a instauré une zone sans enfants de moins de 12 ans dans ses avions.

À lire ici : http://www.atlantico.fr/atlantico-light/compagnie-aerienne-instaure-zone-interdite-aux-enfants-831225.html

vendredi 23 août 2013

La force de ses convictions

J'aimerais beaucoup avoir le courage de parler à mes voisins du son inapproprié que font leurs enfants. Je tiens tout de suite à dire aux parents qui me liraient que je sais pertinemment que je vis en société, que les enfants ont le droit de s'exprimer et que cela fait partie des choses normales de la vie. Tout à fait. Ceci dit, il faut quand même les encadrer.

Quand j'étais enfant, ma mère me disait souvent : "Baisse le ton." "Parle moins fort." "Crie pas, t'es pas toute seule au monde." Mon enfance n'a pas été brimée pour autant. Au contraire, j'ai appris que j'évoluais à l'intérieur d'une collectivité et que la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres, bref que je pouvais m'amuser et exister sans pour autant faire chier les gens autour de moi.

En tant qu'adulte, je ne parle donc pas très fort, je suis une bonne voisine qui ne marche pas fort, qui enlève ses chaussures à l'intérieur, qui ne claque pas les portes, qui ne met pas la musique à tue-tête. Bref je respecte le droit à la quiétude des autres. Et j'aspire à ce que ce soit réciproque.

Je sais que dire aux autres comment élever leurs enfants est un sujet sensible, voire à éviter tant que possible. Mais pour quelle raison ne peut-on pas, en tant qu'humain membre d'une collectivité, émettre une opinion quant à certains comportements problématiques? Le bruit excessif est un grave problème de discorde en société. On appelle la police pour se plaindre de la musique d'un voisin qui fait vibrer notre vaisselle à toute heure du jour ou de la nuit, d'un party qui nous réveille à grands coups de drum and bass, etc. Pourquoi doit-on tolérer le bruit infernal que mènent des bambins lorsque c'est réellement épouvantablement fort? Parce qu'il faut bien que jeunesse se passe? Oui... et non.

Il y a un peu plus de deux ans (et je vous en avais déjà parlé à l'époque), j'ai changé de quartier pour m'établir dans Rosemont qui est certainement un lieu plus familial que Centre-Sud. Et j'ai rapidement sû que mes voisins avaient des jumeaux en bas âge – ils doivent avoir à peu près quatre ans maintenant – qui HURLENT à plein poumons dès qu'ils sont dehors. Le problème, c'est que mon appart est situé à l'arrière du building, à environ un mètre de leur cour, et que j'entends tout comme si ça se passait chez moi. Ce qui me met le feu au c-- (pour reprendre une expression de ma mère), c'est que les parents sont là, dehors, avec les enfants, et qu'ils ne font rien, rien du tout, pour que le volume baisse. Au contraire, ils leur achètent des jouets hyper bruyants et parlent très fort entre eux. Comme quoi, le problème est vraiment au niveau de l'éducation des enfants.

Bref, ça fait deux ans que j'endure, me disant que ça va passer, que ça va s'améliorer, mais non. J'aimerais avoir le courage de mes convictions et prendre le temps de descendre leur parler au risque de passer pour une folle, ce que je ne crois réellement pas être. La tolérance est une vertu, mais elle a aussi ses limites. Reste juste à trouver une manière de leur expliquer la situation calmement, parce que généralement, je n'ai envie de leur parler que lorsque je suis excédée... À suivre.

Si cela vous est également arrivé, je serais curieuse de savoir comment vous avez réglé la situation.

jeudi 1 août 2013

L'été, on parle des childfree!

Lundi dernier (le 29 juillet), paraissait dans LaPresse+ un article à propos des gens qui, comme moi, ont fait le choix de ne pas avoir d'enfants. On m'a même interviewée de même que ma bonne amie, la magnifique auteure Élise Desaulniers.

Et aujourd'hui, le prestigieux Times Magazine sort un article intitulé Having It All Without Having Children.

Cette semaine pourrait bien être la semaine des childfree! ;)

Bonne lecture!

jeudi 11 juillet 2013

Remettre un macho à sa place!

Je ne vous ai pas oubliées, chères lectrices (et lecteurs).

Telle une fourmi, je travaille fort cet été pour amasser des sous pour le montage qui continuera à l'automne.

Entre temps, je partage avec vous un texte jouissif, mais jouissif!! Je l'ai tellement aimé que je l'ai envoyé à toute ma famille, l'ai mis sur mon mur Facebook et maintenant, j'en parle même sur mon blog.

Anecdote d'une journaliste dont l'amie a cassé (voir Brice de Nice) un type qui a sorti une expression sexiste commune. Comme quoi le sexisme, c'est important de le pointer du doigt pour que ça arrête, pour que nos/vos/les futurs enfants ne reproduisent pas les erreurs que nous faisons toutes.

Non, "elle est-tu dans sa semaine", c''une expression de marde! Parce que je sais qu’aucune fille intelligente va finir avec un colon qui justifie le moindre questionnement féminin par une perte de sang menstruel.  
Fait que c’gars là va sans doute finir avec une cruche, ils vont avoir une fille, pis cette fille-là, elle va être élevée dans un environnement où son rôle va se limiter à « apporter une bière à son père » pour ensuite le voir décapsuler la bouteille avec ses molaires et la gratifier d’un « bonne fille » limiteur et réducteur. 
Lisez l'article complet sur le site d'Urbania!