Une gentille petite fée m'a envoyé cet article satirique. Je suis convaincue que vous le trouverez aussi amusant que nous.
Un couple enfin libre après avoir été séquestré pendant plu de 20 ans par ses deux enfants.
Bonne lecture!
Ce documentaire d'auteur examine la réalité des femmes qui ont choisi de ne pas se reproduire. Explorant les mythes tenaces qui persistent et les pressions sociales qui s'exercent en catimini dans la société, Maman ? Non merci ! donne une voix à un segment de la société totalement ignoré des médias et s'intéresse au rôle des femmes au sein de la société moderne. Dans le cadre de ce blogue, l'auteure, Magenta Baribeau, nous parle aussi de sujets connexes à celui de son film.
dimanche 24 novembre 2013
lundi 2 septembre 2013
Zone sans enfant dans les avions
Je vous avais déjà fait mention d'une compagnie aérienne irlandaise qui voulait commencer à offrir des vols sans enfants (qui s'est avéré être un canular du 1er avril). Mais c'est finalement une compagnie de Singapour, Scoot Airlines, qui a instauré une zone sans enfants de moins de 12 ans dans ses avions.
À lire ici : http://www.atlantico.fr/atlantico-light/compagnie-aerienne-instaure-zone-interdite-aux-enfants-831225.html
À lire ici : http://www.atlantico.fr/atlantico-light/compagnie-aerienne-instaure-zone-interdite-aux-enfants-831225.html
vendredi 23 août 2013
La force de ses convictions
J'aimerais
beaucoup avoir le courage de parler à mes voisins du son inapproprié
que font leurs enfants. Je tiens tout de suite à dire aux parents
qui me liraient que je sais pertinemment que je vis en société, que
les enfants ont le droit de s'exprimer et que cela fait partie des
choses normales de la vie. Tout à fait. Ceci dit, il faut quand même
les encadrer.
Quand j'étais enfant, ma mère me disait souvent : "Baisse le ton." "Parle moins fort." "Crie pas, t'es pas toute seule au monde." Mon enfance n'a pas été brimée pour autant. Au contraire, j'ai appris que j'évoluais à l'intérieur d'une collectivité et que la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres, bref que je pouvais m'amuser et exister sans pour autant faire chier les gens autour de moi.
En tant qu'adulte, je ne parle donc pas très fort, je suis une bonne voisine qui ne marche pas fort, qui enlève ses chaussures à l'intérieur, qui ne claque pas les portes, qui ne met pas la musique à tue-tête. Bref je respecte le droit à la quiétude des autres. Et j'aspire à ce que ce soit réciproque.
Quand j'étais enfant, ma mère me disait souvent : "Baisse le ton." "Parle moins fort." "Crie pas, t'es pas toute seule au monde." Mon enfance n'a pas été brimée pour autant. Au contraire, j'ai appris que j'évoluais à l'intérieur d'une collectivité et que la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres, bref que je pouvais m'amuser et exister sans pour autant faire chier les gens autour de moi.
En tant qu'adulte, je ne parle donc pas très fort, je suis une bonne voisine qui ne marche pas fort, qui enlève ses chaussures à l'intérieur, qui ne claque pas les portes, qui ne met pas la musique à tue-tête. Bref je respecte le droit à la quiétude des autres. Et j'aspire à ce que ce soit réciproque.
Je sais que dire aux
autres comment élever leurs enfants est un sujet sensible, voire à
éviter tant que possible. Mais pour quelle raison ne peut-on pas, en
tant qu'humain membre d'une collectivité, émettre une opinion quant
à certains comportements problématiques? Le bruit excessif est un
grave problème de discorde en société. On appelle la police pour
se plaindre de la musique d'un voisin qui fait vibrer notre vaisselle
à toute heure du jour ou de la nuit, d'un party qui nous réveille à
grands coups de drum and bass, etc. Pourquoi doit-on tolérer le
bruit infernal que mènent des bambins lorsque c'est réellement
épouvantablement fort? Parce qu'il faut bien que jeunesse se passe?
Oui... et non.
Il y a un peu plus de deux ans (et je vous en avais déjà parlé à l'époque), j'ai
changé de quartier pour m'établir dans Rosemont qui est
certainement un lieu plus familial que Centre-Sud. Et j'ai rapidement
sû que mes voisins avaient des jumeaux en bas âge – ils doivent
avoir à peu près quatre ans maintenant – qui HURLENT à plein
poumons dès qu'ils sont dehors. Le problème, c'est que mon appart
est situé à l'arrière du building, à environ un mètre de leur
cour, et que j'entends tout comme si ça se passait chez moi. Ce qui
me met le feu au c-- (pour reprendre une expression de ma mère),
c'est que les parents sont là, dehors, avec les enfants, et qu'ils
ne font rien, rien du tout, pour que le volume baisse. Au contraire,
ils leur achètent des jouets hyper bruyants et parlent très fort
entre eux. Comme quoi, le problème est vraiment au niveau de
l'éducation des enfants.
Si cela vous est également arrivé, je serais curieuse de savoir comment vous avez réglé la situation.
jeudi 1 août 2013
L'été, on parle des childfree!
Lundi dernier (le 29 juillet), paraissait dans LaPresse+ un article à propos des gens qui, comme moi, ont fait le choix de ne pas avoir d'enfants. On m'a même interviewée de même que ma bonne amie, la magnifique auteure Élise Desaulniers.
Et aujourd'hui, le prestigieux Times Magazine sort un article intitulé Having It All Without Having Children.
Cette semaine pourrait bien être la semaine des childfree! ;)
Bonne lecture!
Et aujourd'hui, le prestigieux Times Magazine sort un article intitulé Having It All Without Having Children.
Cette semaine pourrait bien être la semaine des childfree! ;)
Bonne lecture!
jeudi 11 juillet 2013
Remettre un macho à sa place!
Je ne vous ai pas oubliées, chères lectrices (et lecteurs).
Telle une fourmi, je travaille fort cet été pour amasser des sous pour le montage qui continuera à l'automne.
Entre temps, je partage avec vous un texte jouissif, mais jouissif!! Je l'ai tellement aimé que je l'ai envoyé à toute ma famille, l'ai mis sur mon mur Facebook et maintenant, j'en parle même sur mon blog.
Anecdote d'une journaliste dont l'amie a cassé (voir Brice de Nice) un type qui a sorti une expression sexiste commune. Comme quoi le sexisme, c'est important de le pointer du doigt pour que ça arrête, pour que nos/vos/les futurs enfants ne reproduisent pas les erreurs que nous faisons toutes.
Telle une fourmi, je travaille fort cet été pour amasser des sous pour le montage qui continuera à l'automne.
Entre temps, je partage avec vous un texte jouissif, mais jouissif!! Je l'ai tellement aimé que je l'ai envoyé à toute ma famille, l'ai mis sur mon mur Facebook et maintenant, j'en parle même sur mon blog.
Anecdote d'une journaliste dont l'amie a cassé (voir Brice de Nice) un type qui a sorti une expression sexiste commune. Comme quoi le sexisme, c'est important de le pointer du doigt pour que ça arrête, pour que nos/vos/les futurs enfants ne reproduisent pas les erreurs que nous faisons toutes.
Non, "elle est-tu dans sa semaine", c''une expression de marde! Parce que je sais qu’aucune fille intelligente va finir avec un colon qui justifie le moindre questionnement féminin par une perte de sang menstruel.
Fait que c’gars là va sans doute finir avec une cruche, ils vont avoir une fille, pis cette fille-là, elle va être élevée dans un environnement où son rôle va se limiter à « apporter une bière à son père » pour ensuite le voir décapsuler la bouteille avec ses molaires et la gratifier d’un « bonne fille » limiteur et réducteur.Lisez l'article complet sur le site d'Urbania!
S'abonner à :
Messages (Atom)